Cueillaison #4 : magie collective et fête permanente
CUEILLAISONs #4
l’émission mensuelle de cueillette poétique et radiophonique
01’23 « The Women of Greenham » écrite par les femmes de Greenham, arrangée et interprétée par Bonnie Dégaine
05’10 Extrait de « Les Guérillères » de Monique Wittig, lu par Louise Golly
09’07 Création sonore « Les vivants » de Fantazio
11’45 Sarah’s song – « Can’t forbid us to sing », écrite par les femmes de Greenham, arrangée et interprétée par Bonnie Dégaine
14’42 Extrait de « Robert Filliou : nationalité poète » de Pierre Tilman, lu par Louise Golly, incluant « La fête permanente », poème de Robert Filliou
16’39 « Prendre corps », poème écrit par Gherasim Luca, interprété par Claudine Simon et Elise Dabrowski
20’26 « You can’t kill the spirit », mots originaux par Naomi Little Bear, paroles additionnelles par les femmes de Greenham, arrangé et interprété par Bonnie Dégaine
On entend « Spiral Tribe – Network 23 Mix », live à Nottingham en 1996.
Les chants des femmes de Greenham Common, sont repris et interprétés par Bonnie Dégaine, inclus dans une performance : « CHNTS », en collaboration avec Mila Guilloneau (projection live) depuis 2023.
« CHNTS est une performance hommage à la lutte antinucléaire des femmes de Greenham Common, base de missiles installée en Angleterre dans un contexte de guerre froide. Composée à partir des paroles écrites durant ces nombreuses nuits d’occupations, cette nouvelle mise en musique, tente par la création de boucles de voix et d’images, de faire revivre ces rondes d’émancipation et de résistance joyeuse. Sous sa cagoule de fleurs, Bonnie Dégaine mêle transe polyphonique, sonorités celtiques, cris et souffles cathartiques pour partager l’énergie de ces femmes ayant expérimenté leur propre méthode de lutte. »
pour voir quelques autres choses de Bonnie Dégaine : https://www.youtube.com/@BonniePeppers
et pour retrouver les chants des femmes de Greenham Common : http://www.yourgreenham.co.uk/
Merci à elles !
cueilleuse/montage/mixage : Louise Golly
Spiralement vôtre,
Les Cueillaisonnier.e.s